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Histoires de Rome / Les premières paroisses romaines /Les fresques de Cavallini
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| Les fresques de Cavallini La sérénité du martyre de sainte Cécile, la patronne des musiciens à cause de sa prière pendant les trois jours de son agonie, se retrouve dans la fresque du Jugement dernier par Cavallini. Ce chef-d’œuvre est tout empreint de la miséricorde du Christ et de la joie de ceux qui croient en lui. | |||||||||
Signes de la foi : | |||||||||
 La continuité de l’expérience mystique entre les saints Manuscrits autobiographiques de sainte Thérèse de l’Enfant Jésus Avant d’entrer au carmel, sainte Thérèse de Lisieux a fait avec son père un pèlerinage à Rome dont elle a écrit les souvenirs: “Avant mon voyage de Rome je n’avais pour cette sainte (Cécile) aucune dévotion particulière, mais en visitant sa maison changée en église, le lieu de son martyre... je sentis pour elle plus que de la dévotion: une véritable tendresse d’amie. Tout en elle me ravit, surtout son abandon, sa confiance illimitée qui l’ont rendue capable de rendre leur pureté à des âmes n’ayant désiré d’autres joies que celles de la vie présente...” Sainte Thérèse de Lisieux raconte qu’au début de sa vie religieuse, elle vit dans la paix intérieure: “Je jouissais d’une foi si vive, si claire,” dit-elle, “que la pensée du Ciel faisait tout mon bonheur, je ne pouvais croire qu’il y eût des impies n’ayant pas la foi. Je croyais qu’ils parlaient contre leur pensée en niant l’existence du Ciel, du beau Ciel où Dieu Lui-même voudrait être leur éternelle récompense.” Plus tard, elle confie “Aux jours si joyeux du temps pascal, Jésus m’a fait sentir qu’il y a véritablement des âmes qui n’ont pas la foi... Il permit que mon âme fut envahie par les plus épaisses ténèbres et que la pensée du ciel, si douce pour moi ne soit plus qu’un sujet de combat et de tourment... Il faut avoir voyagé sous ce sombre tunnel pour en comprendre l’obscurité.” | |||||||||
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