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| Le Christ maître de la nature Ce miracle oppose la puissance divine tranquille et immédiate au désarroi des flots. Sans recourir à la technique ou à la complexité des rituels magiques le Christ soumet les éléments et par là il annonce son combat et la victoire du Christ sur toutes les formes du mal et de la mort. |
| Expérience humaine : |
|  L’impuissance face à la nature, sauf à s’entourer de moyens La précarité de l’homme l’empêche de concevoir spontanément la maîtrise des éléments autrement que par l’habileté technique ou la magie. Les Babyloniens comme les Egyptiens prêtaient à leurs dieux des miracles, mais ils reconnaissaient que pour obtenir ceux-ci il fallait les entourer de rites magiques. Les rituels retrouvés dans les tombes ou les bibliothèques décrivent ceux-ci avec d’autant plus de minutie qu’ils conditionnent l’efficacité des gestes prêtés aux dieux. De nos jours, les chiffres d’affaires de la chiromancie et des pratiques semblables montrent que les anciens continuent d’avoir des disciples. Ce qui est étonnant dans les récits bibliques c’est d’une part la simplicité des actions miraculeuses, d’autre part que les témoins ne s’y attendaient pas et en sont tout surpris. |
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 | La vague, huile A. et U. Held
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