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Terres d'Evangile / Paraboles /La Brebis Perdue
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| La gloire de Dieu c’est l’homme vivant Le Calvaire est le lieu et le moment où se concentre toute l’œuvre du Christ et où il répond à toutes les interrogations humaines. Ses dernières paroles en développent le sens jusqu’à l’instant ultime où il remet son souffle à son Père, il lui remet sa vie avec une confiance si totale, qu’il déchire tous les liens que les hommes ont avec le mal et la mort: l’égoïsme, la jalousie, la violence, la vengeance. | |||||||||||||||
Accomplissement des Ecritures : | |||||||||||||||
 La puissance de Dieu c’est sa miséricorde Les trois personnages les plus importants de l’Histoire Sainte sont premièrement un nomade, Abraham, propriétaire de troupeaux, puis Moïse, le pasteur qui conduira le peuple hors d’Egypte après avoir appris le métier de berger dans le désert (Exode 3,1), enfin le roi David qui a été sacré par Samuel pendant qu’il était berger à Bethléem (2 Samuel 16, 11-13). On comprend pourquoi les prophètes se serviront des images pastorales pour faire comprendre le dessin de Dieu, Ezéchiel n’hésite pas à mettre dans la bouche de Dieu cette promesse: “Je chercherai la brebis qui est perdue, je ramènerai celle qui est égarée, je panserai celle qui est blessée, je guérirai celle qui est malade. Celle qui est grasse et bien portante, je veillerai sur elle. Je ferai paître avec justice.” (Ezéchiel 34, 16) Isaïe décrit la puissance de Dieu en des termes qui ne peuvent que dérouter l’orgueil humain: “Voici le Seigneur qui vient avec puissance, son bras lui soumet tout… le prix de sa victoire l’accompagne et ses trophées le précèdent. Tel un berger qui fait paître son troupeau, recueille dans ses bras les agneaux, les mets sur sa poitrine et conduit au repos les brebis mères.” (Isaïe 40, 10-11) | |||||||||||||||
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